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PREMIÈRE BATAILLE D’ADOBE WALLS

 

La première bataille d'Adobe Walls est l'une des plus importantes batailles opposant des soldats américains et des Amérindiens. Les tribus Kiowas et Comanches, avec leurs alliés, chassèrent du champ de bataille une force expéditionnaire américaine chargée de réagir aux attaques contre les colons blancs s'installant au sud-ouest des Etats-Unis.

 

Date 26 novembre, 1864     

Lieu Adobe Walls, Texas                

Issue Victoire indienne

                          Belligérants

Etats-Unis                                        Kiowas                                                         

                                                          Comanches

                                      Commandants

Colonel Christopher (Kit) Carson             chef Dohäsan,           

                                                                    chef Satank, chef Satanta

                                     Forces en présence

335 cavaliers, 75 éclaireurs indiens            entre 3 à 5 000 guerriers

 

                                            Pertes

6 morts, 21 blessés.                                       Entre 50 et 60 morts,  une centaine de blessés

 

 

Kit Carson

La bataille d'Adobe Walls s'est déroulée le 26 novembre 1864, à proximité d'Adobe Walls, les ruines du saloon et bureau commercial en adobe de William Bent, près de la Canadian River, dans le Comté de Hutchinson, au Texas. Il s'agit du plus grand affrontement entre Blancs et Indiens sur les Grandes Plaines. Il se produisit lorsque le général James H. Carleton, commandant du district militaire du Nouveau-Mexique, décida de punir sévèrement les tribus des plaines, les Kiowas et les Comanches qu'il tenait pour responsables des attaques contre des convois le long de la Piste de Santa Fe. Les Indiens voyaient en ces convois des violateurs de leurs terres qui tuaient le bison et d'autres sortes de gibier nécessaires aux Indiens pour survivre. Lorsque la guerre civile américaine accapara les troupes disponibles, les attaques sur les Grandes Plaines s'intensifièrent, ce qui, fin 1863, conduisit les colons à réclamer une protection.

 

Le général Carleton voulait mettre fin aux raids ou au moins envoyer un signal clair aux Indiens : la guerre civile ne laissait pas les États-Unis incapables de protéger leur peuple. Il choisit le vétéran le plus expérimenté dans les guerres indiennes dont il disposait, le colonel Christopher (Kit) Carson, pour conduire la force expéditionnaire. Carson prit le commandement du premier régiment de cavalerie, des volontaires du Nouveau-Mexique, avec l'ordre de marcher sur les quartiers d'hiver des Comanches et des Kiowas, censés se trouver quelque part dans le Palo Duro Canyon, dans la région sud de la Panhandle du Texas, sur la rive méridionale de la Canadian River. L'expédition Carson était la deuxième invasion en territoire comanche, après l'expédition d'Antelope Hills.

 

Prélude à la bataille

Cavalier de l'US Cavalry dans l'Ouest

Le 10 novembre 1864, Carson partit de Fort Bascom avec 335 cavaliers, et soixante-quinze éclaireurs Utes et Apaches Jicarillas que Carson avait recrutés au ranch de Lucien Maxwell près de Cimarron, au Nouveau-Mexique. Le 12 novembre, les forces de Carson, accompagnées de deux obusiers de montagnes sous le commandement du lieutenant George H. Pettis, de vingt-sept chariots, d'une ambulance, et de provisions pour quarante-cinq jours, descendirent le long de la Canadian River vers Panhandle au Texas. Carson avait décidé de marcher d'abord jusqu'à Adobe Walls, un endroit qui lui était familier depuis qu'il y avait été employé par Bent plus de vingt ans auparavant.

 

Un temps peu clément, en particulier une tempête de neige précoce, ralentit leur progression et ce n'est que le 25 novembre que le régiment atteignit Mule Springs, dans le comté de Moore, au Texas, à environ 48 km à l'ouest d’Adobe Walls. Les éclaireurs signalèrent la présence d'un large campement indien à Adobe Walls, et Carson lança sa cavalerie en avant, suivie des chariots et des obusiers.

 

Dohäsan

 

La première bataille d’Adobe Walls

Approximativement deux heures après le lever du jour, le 26 novembre, la cavalerie de Carson attaqua un village Kiowa de 150 huttes. Le chef, Dohäsan, et son peuple, s'enfuirent, donnant l'alarme aux villages Comanches alliés voisins. Marchant vers Adobe Walls, Carson s'y installa vers 10 h, utilisant un coin de ruines pour hôpital. Mais il découvrit avec consternation qu'il y avait de nombreux villages dans la région, y inclus un très grand village Comanche, avec un total de 3 à 5000 guerriers. Carson vit donc des milliers de guerriers se précipiter pour les affronter, une force bien supérieure à celle qu'il avait escomptée.

 

Satanta

Dohäsan, assisté de Satank (Ours Trébuchant) et Satanta (Ours assis), conduisit la première attaque des Kiowas. Un combat furieux se développa, les guerriers Kiowas, Apaches Kiowas, et Comanches attaquant à plusieurs reprises les positions occupées par Carson. On raconte que Satanta répliqua au clairon de Carson par ses propres appels de clairon. Carson réussit à repousser les attaques uniquement grâce à une habile utilisation de la couverture offerte par les deux obusiers. Après six à huit heures de combat à peu près continu, Carson se rendit compte qu'il commençait à manquer de munitions, en particulier pour les obusiers, et ordonna une retraite. Les Indiens essayèrent de le bloquer en mettant le feu à l'herbe et en le repoussant vers la rivière. Mais Carson mit en place des contre-feux et fit retraite sur un terrain plus élevé d'où les obusiers pouvaient continuer à retenir les Indiens. Lorsque vint le crépuscule, Carson ordonna à un groupe de ses éclaireurs de brûler les huttes du premier village, ce qui causa la mort du chef Kiowa-Apache (Chemise de Fer), qui refusa de quitter son tipi.

 

Massacre de Bear River

Le massacre de Bear River (également appelé bataille de Bear River ou massacre à Boa Ogoi) eut lieu le 29 janvier 1863. L’armée des États-Unis et les indiens Shoshone se confrontèrent au confluent de la Bear River et de Beaver creek (appelé maintenant Battle creek) près de Preston dans l’état de l’Idaho. Le détachement américain était conduit par le colonel Patrick Edward Connor comme une expédition punitive contre le chef indien Shoshone Bear Hunter. Parmi les grandes batailles et massacres de cette époque, Bear River est celui qui fit le plus grand nombre de victimes.

 

Bataille de la Bear River

Date 29 janvier 1863 

Lieu Battle Creek, Idaho

Issue Victoire américaine

                      

                                       Belligérants

Indiens Shoshones                                   États-Unis

 

                                      Commandants

Bear Hunter                                              Patrick Edward Connor

                                   Forces en présence  

300 guerriers                                                300 cavaliers

 

                                              Pertes

1 chef de guerre, 250 guerriers                   27 tués (dont 5 officiers) nombre inconnu de 

                                                                        blessés

 Épilogue

L’armée américaine déclara que cette bataille était une victoire. Pour rendre justice à Carson, ses troupes étaient sans doute dominées à 10 contre 1 et seule son utilisation astucieuse des contre-feux et des obusiers empêcha ses hommes d'être massacrés, comme ce fut le cas plus tard pour Custer à Little Big Horn. Cependant, l'armée américaine ne peut occulter le fait que les Kiowas, les Comanches et leurs alliés l'ont contrainte à la retraite et que par conséquent, il est difficile de contester sérieusement la victoire aux Indiens, au moins sur le plan tactique, Carson déclarant lui-même après la bataille que « les Indiens l'avaient balayé », même s'il reviendra sur cette déclaration dans le rapport officiel qu'il dictera par la suite. Carson eut 6 hommes tués et 25 blessés, alors que les Indiens perdirent à peu près 50–60 hommes et eurent environ 100 blessés.

Cette bataille est la dernière où Comanches et Kiowas forcèrent les troupes américaines à fuir le champ de bataille et elle marque le début de la fin des tribus des plaines et de leur mode de vie. Dix ans plus tard, la deuxième Bataille d'Adobe Walls, le 27 juin 1874, opposa environ 700 Comanches et un groupe de 28 chasseurs défendant la colonie d'Adobe Walls. Après un siège de quatre jours, les Indiens se retirèrent. À ce moment, il restait moins de 2 000 guerriers Kiowas et Comanches, alors que 5000 étaient encore mobilisables dix ans auparavant. La deuxième bataille est historiquement significative parce qu'elle conduisit à la guerre de la rivière Rouge de 1874-75, qui aboutit elle-même au déplacement définitif des Indiens des Plaines méridionales vers des réserves dans ce qui est maintenant l'Oklahoma.

 

 

Lieu du massacre

 

Les causes du massacre

Les pionniers s’installèrent sur les territoires occupés par les Shoshone à partir de 1856. Bien que la plupart des colons, principalement Mormons, aient eu pour consigne d’établir de bonnes relations avec les indiens, les ressources naturelles et la nourriture profitaient surtout aux blancs. Petit à petit, les Shoshone finirent par manquer de nourriture et se virent contraints d’attaquer les colons. De l’or fut découvert dans les montagnes du Montana le 28 juillet 1862. Cette découverte ne fit qu’accroître la population des colons. Plusieurs incidents, alors jugés mineurs, se produisirent à l’automne de l’année 1862, et conduisirent à la confrontation entre Bear Hunter et le colonel Connor. Le fait qu’un jeune indien fut injustement pendu pour le vol d’un cheval (l’histoire a retenu le nom de cet indien comme étant Pugweenee), fils d’un chef Shoshone, suffit à mettre le feu au poudre. Deux jeunes hommes furent assassinés (les Merrill) en représailles alors qu’ils ramassaient du bois. Une escalade s’ensuivit. Lorsque quatre guerriers Shoshone furent fusillés et jetés dans la Bear River et plusieurs mineurs tués en représailles par les indiens, le colonel Connor obtint la permission de préparer une expédition en territoire Shoshone en janvier 1863.

 

L’expédition

Le colonel Connor

Le 22 janvier 1863, deux groupes quittèrent Fort Douglas, le premier était constitué de 80 hommes menés par le capitaine Samuel W Hoyt et le second de 220 hommes ne partit que le 25 janvier. Il faisait –30° C, le matin du 29 janvier 1863 quand les deux groupes réunis se préparèrent à l’attaque. Les Shoshone s’attendaient à une attaque et s’y étaient préparés, mais leur armement n’était constitué que des quelques armes qu’ils avaient ramassées au cours de leurs propres expéditions.

 

L’attaque

A cause du froid, il fallut un certain temps pour que Connor organise ses troupes en ligne de bataille à 6h ce matin-là. Connor attaqua les positions Shoshone de manière frontale, mais fut débordé par les tirs défensifs des indiens. C’est lors de cette attaque que l’armée américaine perdit le plus de soldats. Il ordonna alors des attaques par leurs arrières et sur leurs flancs. Après deux heures d’assauts, les Shoshones n’avaient plus de munitions.

 

Les tipis des Shoshones

 

Le massacre

Les Shoshone furent alors contraints à des mesures désespérées pour se défendre, utilisant leurs vieux tomahawks ou leurs arcs. Les soldats de l’armée américaine massacrèrent tous les hommes et violèrent puis tuèrent les femmes et tuèrent leurs enfants. Certains témoins ont rapporté que les hommes avaient perdu tout sens de la discipline, pour le moins, et tout contrôle d’eux-mêmes, certains ayant tué des enfants en les tenant par les pieds pour leur fracasser le crâne sur toute surface solide qu’ils trouvaient.

Le campement fut entièrement brûlé. Bear Hunter fut tué. Quelques indiens purent fuir le massacre cependant, incluant le chef Sagwitch qui put se cacher dans une source d’eau chaude jusqu’à la nuit. Son fils, qui avait reçu sept balles fut sauvé et soigné. Les soldats perdirent 27 hommes, dont 5 officiers. Les Shoshone perdirent entre 200 et 400 des leurs, dont 90 femmes et enfants. L’armée déclara officiellement 272 morts. Le colonel Connor fut traité en héros et promu au rang de Brigadier général, puis de Major général.

 

Dessin Kiowa représentant probablement la bataille de Buffalo Wallow de 1874, l'un des nombreux affrontements entre les indiens des plaines du sud et l'armée des États-Unis d'Amérique, durant la guerre de la rivière Rouge.

La guerre de la rivière Rouge (The Red River War en anglais) est une campagne militaire menée par l'US Army en 1874 et visant à repousser les tribus indiennes Comanche, Kiowa, Cheyenne du Sud et Arapaho des grandes plaines du sud, et les forcer à s'installer dans les réserves du Territoire indien. Les affrontements de 1874 se distinguent des précédentes tentatives de l'armée de l'Union pour "pacifier" cette région de la frontière ouest.

Ce conflit s'achève en 1875, lorsque le dernier groupe de guerriers comanches offrit sa reddition à Fort Sill. Ils étaient jusqu'alors les derniers Indiens libres du sud-ouest des États-Unis.

 

Un camp comanche vers 1870.

De nombreux facteurs ont conduit à cette campagne militaire contre les tribus indiennes de la frontière sud-ouest. Durant les années 1850, les colons de l’ouest entrèrent en conflit avec les tribus qui vivaient dans les Grandes Plaines du sud depuis des siècles. Pour aider les colons à s’installer sur ces nouvelles terres, l'armée établit une série de forts frontaliers. Le début de la guerre de Sécession conduisit à un retrait des troupes de la frontière occidentale. Les Indiens durent faire face à quelques incursions d’immigrants venus de l'Est du Mississippi. Après la guerre, avec le développement du chemin de fer et l'exploitation des mines, les compagnies de chemin de fer et les colons avides de ces terres qu'ils n'auraient pas à payer, commencèrent à faire pression sur le gouvernement fédéral pour prendre des mesures militaires contre les Indiens.

Le traité de Medicine Lodge, signé en 1867, prévoyait l’établissement de deux réserves en territoire indien : une pour les Comanches et les Kiowa, et l'autre pour les Cheyennes du Sud et les Arapaho. Selon le traité, le gouvernement s’engageait à fournir aux tribus de nombreux services de base et de formation, des logements, de la nourriture et des fournitures, y compris armes et munitions de chasse. En échange, les Indiens acceptaient de cesser leurs attaques et leurs raids. Dix chefs approuvèrent le traité et certains membres des tribus furent transférés volontairement dans les réserves.

 

Quanah Parker

Mais le traité fut un échec. Un petit nombre de branches de ces tribus, y compris les Comanches Quahadi de Quanah Parker, refusèrent de signer le traité. Les chasseurs de bisons ignorèrent les termes du traité et pénétrèrent dans la région promise aux indiens des plaines du Sud. En seulement quatre ans, de 1874 à 1878, le grand troupeau de bison américain du Sud fut pratiquement exterminé. Les chasseurs tuèrent ces animaux par milliers, ramenant les peaux à l’Est et laissant les carcasses pourrir sur place. Le gouvernement américain ne fit rien pour mettre un terme à cette situation. La disparition du bison toucha rudement les tribus indiennes et les rendit dépendantes des rations de la réserve

 

Les conducteurs de troupeaux qui menaient leurs bœufs au nord à travers le territoire indien et la queue de poêle du Texas causèrent d'énormes perturbations. Un bon nombre de cow-boys traitaient tous les Indiens comme des éléments « hostiles ». Les Indiens considéraient traditionnellement tout animal traversant leur territoire de chasse comme du gibier, y compris le bétail. Ceci, allié à la raréfaction des bisons, conduisit à de nombreux affrontements.

Les promesses faites par le gouvernement américain aux indiens qui s'étaient déplacés dans les réserves s’avérèrent creuses. La nourriture était insuffisante et de mauvaise qualité. Les restrictions imposées sur les déplacements personnels, les échanges et les cultes étaient insupportables pour les Indiens. À mesure que leurs conditions de vie se détérioraient, un nombre croissant d'entre eux quittait les réserves pour se joindre aux bandes retournées dans les plaines du Texas. Les Indiens commençaient à envisager la guerre pour chasser l'homme blanc de leur terre.

 

Mackenzie

 

L’affrontement

En 1874, un leader émergea en la personne de Isa-tai de la bande Quahadi des Comanches. Isa-tai incitait à une guerre contre les Blancs[]. Parce que la majorité des Indiens se voyaient eux-mêmes dans une situation où la seule alternative à la famine était la guerre, il fallut peu de persuasion à Isa-tai pour convaincre les dirigeants indiens qu’ils devaient contre-attaquer les Blancs. Les Indiens se décidèrent à attaquer et détruire la nouvelle colonie de chasseurs de bisons d’Adobe Walls.

Le 27 juin 1874, sous la direction d'Isa-tai, du chef Comanche Quanah Parker et du chef Kiowa Big Bow, quelques 300 indiens attaquèrent Adobe Walls. Malgré leur infériorité numérique, les 28 chasseurs occupant ce poste étaient bien armés et adroits au tir. Leurs fusils à longue portée tinrent les indiens à distance. Malgré cet échec, de nombreux Indiens regagnèrent les plaines du Texas. Réalisant que les bisons disparaissaient et qu’ils perdaient l’accès à leurs terres, ils se sentirent forcés à se battre pour repousser l’empiètement croissant des Blancs. Pour les indiens, ceci conduisit à des représailles de l'armée américaine, la défaite, et le confinement dans leurs réserves.

L'attaque contre Adobe Walls servit de catalyseur à l'armée américaine qui commença à forger des plans pour soumettre définitivement les tribus des Plaines du Sud. Cette politique prévoyait l’enrôlement et la protection des indiens innocents et amicaux dans leurs réserves, et la poursuite puis l’extermination des indiens hostile, sans tenir compte des frontières des réserves ou des états. Le principal objectif de la campagne militaire était le retrait des groupes indiens de cette région du Texas et son ouverture à la colonisation anglo-américaine.

L'offensive s’organisa en cinq colonnes convergentes sur l'ensemble de la Texas Panhandle (« queue de poêle » du Texas) et plus particulièrement sur la partie supérieure des affluents de la Rivière Rouge du Sud où ils pensaient que les indiens s’étaient réfugiés. L’objectif de cette stratégie était d'assurer l’encerclement complet de la région, en éliminant pratiquement toutes les issues par lesquelles les indiens auraient pu s'échapper. Le colonel Nelson A. Miles se déplaça vers le sud à partir de Fort Dodge, le lieutenant-colonel John W. Davidson marcha vers l'ouest à partir de Fort Sill, le lieutenant-colonel George P. Buell se déplaça au nord-ouest de Fort Griffin, Le colonel Ranald S. Mackenzie vint vers le nord à partir de Fort Concho, et le major William R. Price marcha vers l'est à travers la queue de poêle du Fort Union. Le plan prévoyait la convergence des colonnes pour maintenir une offensive continue jusqu'à la défaite décisive des indiens.

Au cours de l’année 1874, jusqu'à 20 engagements eurent lieu entre l'armée américaine et les indiens des plaines du Sud, dans la région de la queue de poêle du Texas. L'armée, bien équipée, maintint les Indiens en fuite jusqu'à l’épuisement. Ils furent finalement défaits à la bataille du canyon de Palo Duro. La guerre de la rivière Rouge pris officiellement fin en juin 1875, lorsque Quanah Parker et sa bande de Comanches Quahadi se rendirent à Fort Sill. Les Comanches et les Kiowas furent confinés dans une réserve indienne au sud-ouest du territoire indien 



25/01/2013
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